Les enjeux du bien-être au bureau

Les années 2000 ont connu un virage important dans la stratégie de gestion des ressources humaines des entreprises. Le bien-être et le confort du salarié sont désormais au cœur de la réussite de toute société.

Une réelle transparence est demandée quant à la qualité de vie en entreprise. Elle est même devenue un critère officiel de qualité. Le label Great Place To Work (les entreprises dans lesquelles il est agréable de travailler) est ainsi devenu un des titres les plus demandés.

De même, Glassdoor (ou les employés peuvent noter leurs propres entreprises) est un des sites les plus consultés lorsque l’on cherche à se renseigner.

En bref, la qualité de vie en entreprise est un critère majeur de réussite sur tous les plans (image, productivité, confort…). Découvrez pourquoi dans cet article.

Une productivité améliorée

Le bien être au bureau peut se traduire de différentes manières. Il passe tout d’abord par de bonnes interactions en termes de relations humaines, avec une communication bonne et fluide. Clair et direct, elle doit être nécessaire dans chaque entreprise.

Différents événements d’entreprises (after work, compétitions sportives, fêtes…) vous permettront de créer du liens entre collaborateurs pour une ambiance positive au bureau.

Le mobilier d’entreprise permettra un meilleur confort et jouera grandement sur la productivité de vos équipes, en particulier à long terme.

Enfin, les différents espaces de votre société sont importants. De nos jours, les grandes entreprises comme Google veulent offrir le maximum d’espaces à leurs collaborateurs pour accroitre leur confort : restaurant, espaces de détentes, salles de sport…

Tout est fait pour que le salarié possède tous les espaces de récupération nécessaire à quelques pas seulement de son bureau.

Un confort accru

Le mobilier d’entreprise joue un rôle prépondérant sur de nombreux critères de réussites de votre entreprise. Et ceci pour plusieurs facteurs :

  • Il joue sur le confort du salarié. Il est toujours plus agréable de travailler avec une chaise de qualité et une table de taille suffisante,
  • Le mobilier joue sur la productivité de votre entreprise. On travaille beaucoup mieux dans un espace de qualité, avec suffisamment d’espace et où le confort offert permet de limiter la fatigue
  • L’image de votre entreprise. Si vous recevez des clients / acheteurs, un mobilier de qualité permettra de donner une image positive de votre société tout en mettant à l’aise vos visiteurs

De meilleurs relations entre collègues

Le bien être en entreprise joue donc sur la productivité et la réussite financière de votre entreprise. Mais elle est aussi un facteur qualitatif où vos relations entre collègues s’en retrouveront grandement améliorés. Le constat est simple : on travaille mieux dans un environnement sain avec de bonnes relations entre les collaborateurs.

A la recherche d’investisseur pour votre start-up – vers qui se tourner ?

Vous êtes actuellement à la tête d’une start-up et vous recherchez des solutions de financement ? Vous ne savez pas vers qui vous tourner ou quelle situation de financement envisager ? Nous allons détailler pour vous les différentes possibilités qui existent pour trouver des investisseurs. Découvrons ensemble ces sources de financement qui pourraient vous grandement vous aider à faire croitre et développer votre business.

 Financement de startup n°1 : le crédit bancaire

La première solution qui s’offre est vous est le crédit bancaire. Il s’agit probablement de la solution la plus répandue et la plus connue des entrepreneurs. On estimait d’ailleurs qu’en 2016 près de 83% des financements des entreprises relevaient du crédit bancaire. Si cette méthode permet d’obtenir un financement plutôt simplement et rapidement, elle impose cependant de rembourser selon un échéancier prévu à l’avance qui ne laisse que peu de place à la flexibilité. Il ne faut enfin pas oublier les intérêts qui s’ajouteront au montant emprunté.

Financement de startup n°2 : les investisseurs en fonds propres

Les investisseurs en fonds propres sont une solution de financement alternative à laquelle il est possible de recourir. Il s’agit de personnes spécialisées dans cette activité ou de fonds d’investissements prêts à investir dans votre projet en contrepartie de parts transmises dans la constitution du portefeuille d’associés de votre entreprise. Cette solution a pour avantage de ne pas vous obliger à rembourser les fonds investis, puisque les investisseurs comptent rentabiliser leur investissement avec les profits futurs réalisés par l’entreprise. Il existe à cet effet des plateformes de mise en relation entre investisseurs et entrepreneurs.

Financement de startup n°3 : le crowdfunding

Une autre solution de financement particulièrement en vogue en ce moment est le financement participatif, aussi appelé crowdfunding. Il consiste à faire appel aux dons de particuliers qui sont intéressés, sensibilisés, mobilisés par votre projet. En échange, vous pouvez offrir des récompenses plus ou moins importantes selon le montant qui aura été donné.

Financement de startup n°4 : les concours

Il existe maintenant un certain nombre de concours afin de mettre en valeur des startups. Ces concours s’articulent autour de thématiques spécifiques (par exemple la ville intelligente ou encore le citoyen connecté, etc…), et sont évalués par un jury de professionnels. Les vainqueurs se voient remettre des prix, parfois sous la forme de dotations qui serviront au développement futur de l’entreprise.

Financement de startup n°5 : les organismes publics

Certaines institutions publiques proposent également des aides ou des subventions dédiées aux entrepreneurs qui cherchent à développer leur startup. Si les sommes ne sont pas conséquentes, il s’agit d’un réel coup de pouce si vous prenez la peine de vous occuper des tâches administratives liées à la sollicitation du financement. Les organismes qui peuvent vous financer seront par exemple les suivants :

  • BPI France
  • Pôle Emploi
  • L’Etat ou L’Union Européenne

La satisfaction client : un critère primordial pour les petites et grandes entreprises

La satisfaction client a toujours été étroitement liée à la performance d’une entreprise. Cependant, depuis quelques années maintenant, les entreprises travaillent de plus en plus ce critère pour améliorer leurs résultats. Ce constat est le même quelle que soit la taille de la société. Bien évidemment, les multinationales auront des moyens bien plus importants pour mesurer ce critère et mettre en place des stratégies en fonction des résultats de l’étude. Découvrons ensemble comment travailler la satisfaction client et pourquoi réaliser des études de ce type est primordial pour améliorer ses résultats commerciaux.

Comment mesurer la satisfaction de sa clientèle ?

Comme nous l’avons indiqué précédemment, la satisfaction client est un critère majeur pour améliorer sa pérennité et développer son entreprise. L’indicateur le plus connu, et le plus populaire, pour mesurer cette satisfaction est le CSAT (Customer Satisfaction Score). Pour analyser ses performances, il est préférable de faire appel à des entreprises spécialisées dans le Feedback Management.

En effet, il existe aujourd’hui de nombreuses solutions dédiées à l’étude de la satisfaction client. Certaines solutions sont complètes avec une prise en charge de l’ensemble du processus. D’autres s’occuperont simplement du questionnaire ou encore de l’analyse des résultats. A vous de choisir la solution qui vous correspond le plus en fonction de vos besoins.

Pourquoi investir dans une étude complète concernant la satisfaction de sa clientèle ?

La satisfaction client est l’un des principaux critères qui va définir la réussite ou non d’une entreprise. Bien évidemment, certains types d’entreprises vont être plus impactées que d’autres. Une jeune marque de vêtement par exemple qui se lance sur le marché national n’a pas le droit à l’erreur et devra très vite avoir une satisfaction client extrêmement positive. A l’inverse, une multinationale en situation de quasi-monopole sur un secteur donné peut se permettre d’obtenir une satisfaction client très moyenne.

Cependant, de manière globale, toutes les entreprises soignent cet aspect. En effet, le coût d’acquisition d’un nouveau client est souvent élevé. Il est donc préférable de fidéliser au maximum sa clientèle déjà existante. Plus on baisse le coût d’acquisition sur une année et plus l’entreprise sera stable. Mesurer la satisfaction client permet donc d’avoir une analyse détaillée et de prendre en compte les avis pour ajuster ou même modifier sa stratégie.

Quels sont les avantages de passer par une étude restauration avant de lancer son activité ?

Vous souhaitez lancer votre activité dans le monde aussi intrépide que passionnant de la restauration ? Découvrez les avantages de passer par une étude de restauration pour parfaitement appréhender les variations, les nouveautés et les opportunités de ce marché.

Un marché difficile mais toujours aussi concurrentiel

Aujourd’hui plus que jamais, la restauration est un secteur difficile à appréhender et à anticiper. A Paris, 2 restaurants ferment par jour. La qualité de l’offre est-elle en question ? Non…. La plupart du temps c’est le manque d’études et d’analyses du secteur qui est le nerf de la guerre. Voilà pourquoi opter pour une étude de marché de restauration est un point largement conseillé.

Malgré les difficultés qui règnent dans le secteur de la restauration, il s’agit d’un domaine toujours aussi concurrentiel et populaire auprès des entrepreneurs.

Un marché en constante évolution et donc compliqué à appréhender

La restauration est un secteur qui n’a eu cesse d’évoluer au cours des dernières années. Il s’agit d’un marché qui a connu de profondes mutations et ceci sur plusieurs aspects :

-Une diversification constante de l’offre : démocratisation de la restauration rapide, apparition du fast food « de luxe », explosion des services de livraison…

-Le digital qui s’impose comme lien entre le restaurant et le client. Aujourd’hui, l’application sert de menu, de système de livraison et de paiement.

Secteur phare de l’économie française, le marché de la restauration a été fortement impacté par les innovations ces dernières années. Cela rend le secteur à la fois très attractif mais aussi très périlleux sans une préparation adéquate.

Que vous offre l’études de marché hors domicile ?

L’étude de marché restauration vous offre accès à une base de données conséquente sur votre secteur. Que vous soyez un professionnel de la restauration de luxe, en fast food ou en livraison, vous trouverez l’étude qui correspond à vos besoins. Vous retrouverez ainsi un ensemble de données économiques, sociologiques et géographiques pour vous aider au mieux à lancer votre activité.

Opter pour une étude de marché vous aidera à appréhender ses évolutions, ses tendances et ses opportunités. Plus que dans n’importe quel autre secteur, la veille concurrentielle est un critère ultra important pour une activité réussie. La restauration est un marché à 360 degrés impacté par de nombreux critères : économiques, géographiques, sociologiques, digitaux, culturels… Sur un marché d’une telle complexité, une bonne préparation est donc essentielle.

 

Comment créer son business plan ?

Pour créer son entreprise ou pour obtenir un financement pour faire évoluer sa société, on vous demandera un business plan. Sans cela aucune chance de convaincre votre banquier. Il est donc important de réaliser un plan parfait pour séduire et montrer les capacités de votre entreprise sous leur meilleur jour.

Préparer son plan d’affaires

Avant de rédiger son business plan, il est important d’y réfléchir avec sérieux. On n’improvise pas ce type de document. Il vous faudra au préalable étudier le marché et le nombre de clients que vous souhaitez toucher. Pensez également à présenter les avantages de votre société ou produit au mieux – son originalité, ses atouts et son prix… Analysez le comportement des clients visés et de vos concurrents. Établissez la liste de vos fournisseurs, des normes à respecter et des besoins du marché que vous ambitionnez. Une fois ces réponses mises sur papier au clair, vous pourrez aisément voir si elle est originale ou si elle identique à ce qui existe déjà. Si votre conclusion montre que vous avez beaucoup de concurrents, essayez d’apporter de l’originalité à votre projet. Autrement, votre banquier fera grise mine. Si votre business plan tient la route, d’autres questions apparaissent et la principale est : avez-vous les épaules pour cette nouvelle aventure ? Si oui, alors rédiger votre plan !

Rédiger son business plan

Pour que votre outil de promotion qu’est le business plan soit parfait, il doit impérativement présenter des points clefs. Ceux-ci sont au nombre de six : votre projet, naturellement, une étude du marché précise, les produits et services que vous proposez, la stratégie que vous prévoyez pour les mettre en avant et enfin vos données financières. Celles-ci montrent à votre interlocuteur la faisabilité de votre projet dans le domaine financier. Ces données doivent comporter plusieurs dossiers : les comptes de résultat prévisionnels, vos plans de financement et de trésorerie et le besoin en fonds de roulement. Si vous avez des difficultés, il est possible de vous faire aider. Vous pouvez vous renseigner auprès des CCI (chambres de commerce et d’industrie) ou CMA (chambres des métiers et de l’artisanat) qui proposent des réunions d’aide. Vous pouvez également vous adresser à des structures d’accompagnement pour créateurs d’entreprises.

Un business plan parfait

Vous avez la possibilité de rédiger votre plan en utilisant des modèles disponibles sur le net. Ne négligez aucune étape de ces modèles. Chaque partie doit être pensée avec soin. Pour une étude de marché précise, vous pouvez utiliser la base de données Prisme mais aussi une étude de terrain. Selon votre activité, différentes parties peuvent s’intégrer comme une présentation de votre équipe de travail si celle-ci est particulièrement expérimentée. Ne lésinez pas sur les avantages de votre produit, c’est lui qui est au centre de votre projet. Pour cela indiquez à quels besoins il répond, quel est son caractère innovant, existe-t-il déjà ou est-ce une opportunité exclusive ? Intégrez-le dans le marché et indiquez quelle sera sa différence par rapport aux autres produits. N’oubliez pas non plus de mettre en lumière votre stratégie – marketing, communication, développement à l’international ou simplement national. Tout est important. Enfin, n’oubliez pas d’indiquer la somme correspondant aux capitaux dont vous avez besoin pour mener votre projet à bien. Identifiez les risques à surveiller et indiquez les retours sur investissements possibles. Montrez votre maîtrise du sujet en proposant des portes de sortie en cas de difficultés.

Determiner des étapes pour réussir ses objectifs

Parmi les innombrables challenges de l’entrepreneur, un des plus importants est de rester méthodique dans l’élaboration des étapes d’un projet. Eh, oui ! Avoir des objectifs est bien beau. Mais sans une ligne directrice bien claire pour les atteindre, ce dernier risque d’être seulement frustré. Il ne faut pas penser que les grands entrepreneurs ont réussi facilement. Derrière leur succès se cache, en effet, un travail acharné, bien structuré et corrigé au fil des avancées.

Pourquoi choisir tel ou tel objectif ?

Avant de se fixer n’importe quel objectif, l’entrepreneur doit connaître ses motivations. Pour des projets lucratifs, cela peut être un certain chiffre d’affaires, un résultat bénéficiaire précis ou un volume de ventes. Mais l’argent ne fait pas tout. Il est tout à fait normal de vouloir concrétiser une idée afin de connaître un certain épanouissement personnel. Dans tous les cas, il faudra avoir la tête sur les épaules. Les objectifs fixés doivent demeurer durables. Autrement, les stratégies adoptées ne porteront pas leurs fruits.

Élaborer un plan d’action

Après la fixation des objectifs, il devient indispensable de déterminer les moyens afin d’y parvenir. Cela n’inclut pas seulement les ressources financières. Il faudra également mobiliser le matériel et les ressources humaines qui vont contribuer à donner vie au projet. Premièrement, il faudra lister les tâches à remplir. Deuxièmement, créer les postes requis (fonctionnels et opérationnels). Et troisièmement, répartir les individus choisis, selon leurs compétences et leurs motivations. C’est au niveau du plan d’action qu’il faut savoir si, oui ou non, un emprunt sera requis.

Mettre en œuvre le plan établi

Une fois le plan d’action en main, l’entrepreneur devra agir de suite. En effet, s’il attend trop longtemps, il ne sera qu’un simple planificateur. La peur d’échouer est sans doute le principal moteur de frein. Mais il faut savoir une chose : il n’y a pas de moment parfait pour agir. Ce dernier doit juste prendre le taureau par les cornes et éventuellement opérer des changements en fonction des circonstances. À partir de ce moment, l’intuition et l’improvisation seront des qualités non négligeables pour réussir ses objectifs.

Assurer un contrôle régulier des activités

Après que la machine soit en marche, il est du devoir du chef de projet de contrôler les performances des ressources humaines et les résultats obtenus. Élaborer un tableau de bord est donc de rigueur. Son utilité ? Pouvoir comparer les résultats escomptés avec ceux effectivement obtenus. En cas d’écart négatif, des ajustements seront à faire au niveau opérationnel. L’entrepreneur n’est pas tenu de faire le contrôle lui-même. Il est même
conseillé de constituer un département dédié au contrôle pour éviter le surmenage. En réalité, le chef de projet fera essentiellement office de superviseur. Il ne faut pas avoir peur de se fixer de grands objectifs si les moyens pour les atteindre ont été étudiés avec soin. Durant le processus, des aléas surviendront certainement. Mais voilà pourquoi le département de contrôle s’avère être une nécessité. Au final, secret de la réussite réside dans une planification bien réfléchie.

Les astuces pour bien choisir son ciblage de marque

Le ciblage de marque est une opération consistant à procéder à une évaluation des divers  segments qui existent sur le marché visé, en vue de sélectionner ceux sur lesquels les efforts de marketing seront concentrés, en termes de moyens et de stratégies. Ce ciblage s’effectue donc en cohérence avec ses objectifs, et avec les ressources dont l’on dispose. Le but final est ainsi de faire en sorte que la marque promue réussisse à atteindre une posture de domination au sein du segment ciblé. Mais comment faire pour s’assurer de bien sélectionner le segment en question, afin de ne pas gaspiller des moyens ou fournir des efforts en vain.

Astuce 1 : Connaître les antécédents de consommation de l’ensemble du marché

Avant toute introduction d’une marque sur un marché, il est important de savoir comment les potentiels clients se trouvant sur ledit marché se comportaient par le passé vis-à-vis du produit phare que leur apportera la marque. S’étaient-ils montrés réticents ? Y avait-il eu un excès d’engouement, qui s’est ensuite vite éteint ? Il faut pouvoir répondre à ces questions, et observer ce qu’il en est dans le présent.

Astuce 2 : Identifier les marques qui dominent déjà sur le marché visé

Après avoir étudié les antécédents de consommation, il est logique d’identifier les marques concurrentes qui avaient déjà posé des actions. C’est d’ailleurs en cela que l’observation du présent joue un rôle clé, en vue de savoir quelles marques interviennent déjà sur le marché que l’on vise, et à quel niveau de réputation elles en sont.

Astuce 3 : Déterminer les segments pas encore touchés par les marques dominatrices

En analysant de façon rigoureuse le niveau de réputation des marques concurrentes, l’on peut aisément dégager certains segments au sein desquels cette domination n’est pas encore avérée. En ce sens, il est important d’explorer les points communs que présentent les potentiels clients qui ne sont pas encore touchés, et de voir s’ils présentent suffisamment de points communs pour pouvoir être regroupés en segments.

Astuce 4 : Vérifier pourquoi certains segments ne sont pas encore touchés

Une astuce intéressante consiste aussi à se questionner sur les raisons pour lesquelles certains segments n’ont pas encore pu être atteints par les marques présentes. Est-ce une question de qualité ou une question de désintérêt par rapport au type de produit ? Ou est-ce que les marques déjà présentes n’ont simplement pas su trouver les bonnes stratégies de conquête du marché ?

Astuce 5 : Trouver la méthode appropriée pour les intéresser, et vérifier leur intéressement

Une fois que le champ est réduit à la population pas encore touchée, il convient d’identifier comment les intéresser à la marque que l’on promeut. Ce faisant, il faudra tenir compte principalement de la valeur ajoutée que peut constituer la marque pour eux, tant d’un point de vue utilité que d’un point de vue finances. Le ciblage de marque nécessite des actions très intelligentes et calculées, au risque de fournir des efforts vains. Il faut pour cela adopter les bonnes stratégies, et appliquer les astuces adéquates.

Comment choisir la stratégie de vente à adopter en fonction de son marché ?

Pour bien choisir sa stratégie de vente, une chose est sûre, il faut surtout savoir à qui on s’adresse. C’est la raison pour laquelle déterminer sa clientèle et surtout la catégoriser au mieux suivant son marché est indispensable.

Cibler sa clientèle pour une bonne stratégie de vente

C’est le nerf de la guerre que de définir des catégories de clients afin de mieux les satisfaire mais aussi pour mieux définir une stratégie de vente qui sera idéalement adaptée. Pour cela, il est indispensable de procéder à des regroupements et identifier chaque groupe au mieux. Il est donc nécessaire dans un premier temps de définir les consommateurs, acheteurs et simples curieux et de déterminer le volume de chaque clients inclus dans ces catégories.
Si le nombre est faible dans la catégorie acheteurs par exemple, cela va signifier que le chiffre d’affaire sera peu élevé. Il faudra donc penser ou repenser à une stratégie marketing spécifique pour augmenter ce segment de clients.
Autre répartition indispensable, celle qui concerne directement le client. On pourra ainsi segmenter par exemple suivant l’âge, le sexe, la profession pour des particuliers, ou la taille de l’entreprise, l’activité, le chiffre d’affaire pour les sociétés. Il sera ainsi plus facile d’envoyer un message correspondant au client visé et de le séduire. C’est aussi un moyen de privilégier les clients concernés par vos produits.

Faire correspondre au mieux marché et clients

Pour une stratégie sans faute, vous devez proposer les bons produits aux bonnes personnes. Ce ciblage produit-marché-client est incontournable. Analyser ses produits est alors obligatoire. S’agit-il d’un article spécifique qui cible un public particulier ? Ou d’articles grand public ?
Dans le premier cas, il peut s’avérer judicieux de se spécialiser et donc de prospecter uniquement les segments attachés à ce domaine. Ciblez les amateurs de musique si vous vendez du matériel Hi-fi haut de gamme ou les gastronomes si vous proposez de l’épicerie fine. Montrer que votre société est spécialisée dans un domaine peut paraître délicat, par peur du manque de clients potentiels. Mais il est toujours préférable de s’adresser à de vrais prospects, même si le segment est restreint, qu’à un large public qui de toutes manières n’achètera pas.
Si vous présentez des produits capables de séduire plusieurs cibles, se montrer comme un spécialiste est indispensable. Il s’agira alors de viser le grand public, et donc de segmenter en groupes plus larges, les futurs clients – visez par exemple tous les hommes – quels que soit leur goût, si vous vendez des pantalons pour homme !

Un marché qui touche plusieurs cibles

La couverture globale des segments est aussi indispensable si vous proposez une large gamme de produits. Vous devrez alors présenter vos articles – de sport ou de beauté par exemple – pour amateurs et professionnels, sur des segments très différents comme le haut de gamme et les prix de base. Il vous faudra trouver le meilleur moyen pour vous adresser à différents groupes et pour cela, les présentations basiques restent le moyen le plus juste.
Autre possibilité, la spécialisation sélective est particulièrement bien adaptée si vous vous adressez à des cibles très différentes. Il vous faudra alors proposer des services ajustés à chaque segment. Ainsi, par exemple, un vendeur d’assurance proposera des offres différentes aux particuliers et aux entreprises.